« C’est un terrain de merde ! » Avec son langage certes un peu fleuri, Michel Preud’homme a résumé le sentiment général du clan liégeois par rapport à l’état de la pelouse de Sclessin, indigne du plus haut niveau, dimanche soir. Frustré, MPH n’en peut visiblement plus de voir ses joueurs s’ébattre sur une surface de jeu inégale et boueuse, car sans doute trop sollicitée par l’accumulation des matches en cette période pré-hivernale.
Le problème, récurrent en Belgique, ne touche en tout cas pas uniquement le Standard et ne peut pas être uniquement attribué aux conditions météorologiques, jusqu’ici assez clémentes. Anderlecht a notamment changé sa surface de jeu à… 8 reprises en 8 saisons, la dernière il y a de cela deux semaines. Pour quel résultat ? Une nouvelle pelouse posée à la va-vite sous forme de rouleaux disparates qui donnaient l’impression d’un bricolage assez mal fignolé qui ne laisse rien augurer de bon alors que les Bruxellois vont encore l’utiliser à deux reprises en 2019, jeudi contre Bruges et dimanche face à Genk.
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