Grosse épine pour certains clubs, la formation des jeunes est parfois un réel soucis. Ailleurs, elle est également parfois aussi critiquée malgré de bons résultats.
Le groupe Sudpresse s’est intéressé à la formation des jeunes et à leurs chances de percer dans le noyau A de leur club formateur. En Pro League, il y a de bons élèves, des moyens et puis des mauvais.
A ce petit jeu, le champion est… le Standard. Les Liégeois comptent 13 joueurs formés au club (présent au club pendant 3 ans entre 15 et 21 ans) dans leur noyau : Gillet, Bodart, Goreux, Fiore, Lavalée, Pocognoli, R. Mmaee, Deom, Edmilson, Legear, Cavagnera, Ndongala, Mpoku.
Derrière, on retrouve Genk, avec 11 garçons : Trossard, Jackers, Coucke, Wouters, Khammas, Seigers, Sabak, Heynen, Vanzeir, Tshimanga, Schrijvers. Suit Anderlecht et 7 joueurs : Kums, Dendoncker, Deschacht, Roef, Delcroix, Svilar, Bruno.
A l’inverse, certains clubs n’offrent pas vraiment de perspectives d’avenir à leur blé en herbe. Charleroi (Dessoleil), l’Antwerp (Hairemans), Saint-Trond (Swerts) et Waasland-Beveren (Nys) ne comptent qu’un seul jeune formé au club dans leur noyau. Trop faible.
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