En 2011, Roland Duchâtelet avait racheté le Standard pour éviter que Sclessin ne passe sous pavillon étranger.
Roland Duchâtelet a reconnu que sa communication n’avait pas été bonne du temps où il était propriétaire du Standard. « Ma communication en football a parfois été catastrophique. Dans le cas du Standard comme de Charlton », a confié l’entrepreneur âgé de 72 ans lors d’un entretien avec Sport/Footmagazine. « La communication est un énormé défi. Bruno Venanzi, qui a travaillé avec moi avant de reprendre le Standard, était nettement mieux préparé que moi. Il fait un travail fantastique. Il convient mieux à ce club passionné que moi. »
« Notez que je n’ai pas eu de problème au Standard la première année. Ils sont survenus à la fin de la deuxième saison, à cause d’une communication malheureuse. Bref, le football est un business qui ne me convient pas. J’ai commis une erreur en m’y mêlant », a conclu Roland Duchâtelet.
Il a le mérite de le reconnaître
En effet, il y avait une erreur de casting.