Depuis la petite déchirure à la cuisse dont Samuel Bastien a été victime, lors du Clasico, Paul-José Mpoku a reculé d’un cran sur le terrain, pour prendre place aux côtés de Gojko Cimirot. « Je prends trop de risques pour rester là », dit-il. « Je dois plus penser défensif qu’offensif et ça me retient un peu, car je dois faire doublement attention. Mais tant que je suis sur le terrain et que je peux apporter à l’équipe, au groupe, je suis content… »
Content, le capitaine du Standard ne l’est pourtant pas tout à fait, les derniers résultats l’ayant laissé sur sa faim. « Quand on regarde tous les matches qu’on a joués, il n’y a pas une équipe, à l’exception d’Arsenal à Londres, qui nous a dominés et nous a fait mal et qui a eu autant d’occasions. C’est ce qui fait que si on est frustré, parce que le ballon ne rentre pas assez, on reste optimistes et positifs. On est plus frustré mais ça ne rentre pas… »
Il y a douze mois, le Standard avait clôturé 2018 par trois succès face à Zulte Waregem (4-1), Ostende (3-1) et Charleroi (0-1). Mpoku vise le 6 sur 7 à Waasland-Beveren puis contre Gand. « C’est ce qu’on va essayer de faire, pour nous, pour nos supporters et pour le beau travail réalisé jusqu’ici. Mentalement, on est assez fort pour y parvenir… »
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