Ce Clasico fut assez pauvre au niveau technique, et l’état de la pelouse y a bien contribué. La pratique d’un jeu rapide et osé était rarement possible.
Si Arnaud Bodart ne voulait pas en donner une grande importance, Selim Amallah regrettait l’état du terrain, qui n’a clairement pas été l’allié des Rouches.
“Le terrain était compliqué, pas pratiquable pour jouer au football. C’est décevant de ne pas pouvoir jouer sur son propre terrain. On est quand même le Standard de Liège”, souffle l’international marocain. “Mettre la pression sur les dirigeants? Non, nous on se concentre sur nos matches.”
Buteur en fin de première période, le médian offensif aurait pu trouver la faille plus tôt, mais a manqué le ballon. La faute au terrain? “Entre autres, mais je ne veux pas trouver d’excuse, je dois la mettre au fond.”
