Ceux qui pensaient que Guy Luzon allait être abattu dès son premier revers se sont trompés. A l’issue de la rencontre, le technicien israélien n’a pas changé sa communication d’un iota. Selon lui, il a pris les meilleures décisions pour prendre les trois points face à Esbjerg et il ne regrette en aucune manière le onze de base qu’il avait aligné.

Ceux qui pensaient que Guy Luzon allait être abattu dès son premier revers se sont trompés. A l’issue de la rencontre, le technicien israélien n’a pas changé sa communication d’un iota. Selon lui, il a pris les meilleures décisions pour prendre les trois points face à Esbjerg et il ne regrette en aucune manière le onze de base qu’il avait aligné.

« Nous n’avons jamais pensé que nous allions gagner tous nos matches jusqu’en fin de saison. Après chaque succès, nous sommes restés les pieds sur terre et il sera de même après ce premier revers », disait-il en sirotant une bouteille d’eau. « Esbjerg était une très belle équipe et je tiens à les féliciter. Lors des quarante-cinq premières minutes, il y avait une grosse bataille au milieu de terrain. La seconde période a été meilleure et nous avons eu plusieurs occasions pour prendre les trois points. Dommage cette erreur à la toute dernière mais c’est ça le football. »

Pourtant, le système de rotation a plus que certainement montré ses premières limites. Les Rouches n’ont jamais été aussi dangereux qu’après les montées au jeu de Michy Batshuayi, suite à la blessure d’Igor De Camargo, et Geoffrey Mujangi Bia. « Pour moi, il ne faut pas tirer de grandes conclusions et je trouve pas que notre système ait montré une quelconque limite », poursuivait-il. « Si nous avions concrétisé l’une de nos opportunités et remporté les trois points, personne ne m’aurait posé cette question. Nous aurions pu gagner avec cette composition d’équipe ou une autre. Comme c’était le cas depuis treize matches. »

Si les cadres avaient été titularisés d’emblée, le Standard n’aurait peut-être jamais tremblé durant ce match. « Les remplaçants ont rempli leur rôle, tout simplement. Ils ont amené un plus et on bien fait leur boulot, quel que soit leur nom. Je vous le répète, je n’ai pas d’équipe type et une autre équipe bis. A mes yeux, tous mes joueurs ont, en gros, le même niveau de jeu », disait-il. Il semble, cependant, évident qu’un Ezekiel est plus costaud qu’un Reza… « Oui mais n’oubliez pas que Reza restait sur un excellent dernier match européen. »

C’est vrai, mais l’opposition était bien plus faible !

Source : sudpresse

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