Lacunes physiques à Hercules et rejet de Been à Genk ont freiné la carrière de Sarr

FLÉMALLE Depuis son départ forcé de Sclessin (où il avait atterri après des passages au Milan AC et à Galatasaray), Momo Sarr n’a pas connu que le succès.

Hercules Alicante (4 matches). « Comme je ne pouvais plus m’entraîner avec le groupe au Standard, je n’étais pas prêt en arrivant en Espagne. Une désastreuse arrivée ! De plus, l’équipe gagnait. J’ai joué un bon match avant de tomber malade. »

RC Genk (1 match). « Juste une déception. J’avais envie de montrer mes qualités. Mais je ne pouvais pas décider, il y avait un patron. Mario Been avait décidé que je ne jouerais pas. Cela arrive dans la vie. Il faisait même redescendre des joueurs du milieu, comme Töszer ou Hyland, à ma place. Avec tout le respect que j’ai à l’égard de ces joueurs, ils ne connaissaient pas le poste de défenseur central comme moi. Je respectais les dirigeants et eux-mêmes ne comprenaient pas pourquoi je ne jouais pas ! »

OFI Crète (21 matches, 2 buts). « Il y avait une interdiction de transfert sur le club. Mais on a sauvé l’équipe, ce qui n’était pas gagné d’avance ! L’OFI est ma deuxième maison; j’y retournerai volontiers. Mais je suis revenu pour soigner mon pied et pour me rapprocher de ma famille. »

Source : dhnet.be

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