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Ce soir, le Standard et Genk s’affrontent en demi-finale aller de la Coupe de Belgique. Depuis quelques temps, ces deux équipes sont en forme, notamment grâce à un mercato plutôt bien ciblé.
En championnat, la différence entre le Standard et Genk est… nulle. Les deux équipes sont en effet à égalité et les Limbourgeois ne doivent leur 6e place qu’à une meilleure différence de but, les deux clubs comptant chacun 31 points et 9 victoires (8 pour Charleroi, aussi à 31 points).
Une forme presque identique
Depuis le mois de décembre, le nombre d’unités glanées par le Standard et Genk est sensiblement le même. Si les Liégeois ont remporté 3 matchs, partagé l’enjeu à une reprise et n’ont été battus qu’une seule fois, les Limbourgeois comptent un match nul de plus et pour 2 victoires et 1 défaite.
Là où le Standard présente 4 clean sheet sur les 5 derniers matchs, Genk en a 3. Là où Genk a marqué 5 buts sur les 3 derniers matchs, le Standard en a planté 6.
Autant dire que la rencontre entre les deux grands rivaux régionaux sera serrée à tout point de vue.
Du renfort devant et derrière
Si les Liégeois ont perdu Knockaert et Teixeira (et bientôt Van Damme) sur ce mercato, ils ont fait venir Edmilson, Dompé, Boschilia et Kosanovic. Des renforts qui auront tôt fait de faire oublier ceux qui s’en vont. Par ailleurs, le remplacement de Knockaert par Edmilson devrait permettre au jeu mosan de se libérer là où le Français accaparait trop le ballon. On l’a vu contre Lokeren, les combinaisons étaient plus nombreuses.
Du côté de Genk, Malinovskyi et Karelis, arrivés cet hiver, ont déjà prouvé qu’il pouvait énormément apporter à leur nouveau club. Karelis s’est notamment distingué en inscrivant un magnifique retourné pour offrir la victoire aux siens. Il y a pire comme début. Et puis il y a aussi Uronen qui est arrivé et de qui on dit le plus grand bien.
Des coachs qui s’opposent
Au niveau du coaching, entre le Standard et Genk, c’est le jour et la nuit. Si Yannick Ferrera n’hésite pas à dire ses quatre vérités, il reste assez calme en bord de pelouse préférant la sérénité à l’excitation.
Tout le contraire d’un Peter Maes jamais avare d’envolées peu lyriques si le besoin s’en fait ressentir. Et rester calmement assis ou debout en zone technique, ce n’est pas pour lui. Le coach des Limbourgeois peut s’époumoner pendant 90 minutes pour engueuler, motiver, replacer ses joueurs, voire s’en prendre au quatrième arbitre.
Chez Ferrera, on n’hésite pas non plus à changer son fusil d’épaule en fonction des circonstances et cela peut lui donner un certain avantage. Se borner à un système et s’y tenir même si cela coince, ce n’est pas dans ses habitudes.
Le public liégeois en force
Mais pour ce match à Sclessin, ce qui pourrait faire la différence, finalement, c’est le public. Certes, Buyens et De Camargo le connaissent bien mais si les Liégeois sont chauds en tribune, ce n’est jamais facile pour l’adversaire.
Dans le Limbourg, cela reste bien plus calme même si, intrinsèquement, les deux publics sont comparables.
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