Et si le capitaine rouche avait raison? En crise de confiance, le Standard doit éviter de couler à Anderlecht dimanche. Ce sera tout ou rien. Et dans un Clasico, tout peut arriver.
L’équipe liégeoise qui semblait bien huilée cale totalement. Il y a très peu de raisons qui poussent à l’optimisme à l’heure actuelle. Mais avec le Standard, un seul match peut suffire pour relancer la machine. Surtout un match bouillant (remember Charleroi en octobre 2015, quand les Principautaires étaient derniers.)
« Ce match vient au bon moment », avance Scholz. « C’est une rencontre avec beaucoup d’émotions, de puissance et d’agressivité. C’est un Clasico, c’est unique en son genre. C’est un match qui ne laisse pas trop de temps pour penser, pour analyser. Il faut être présent sur le moment-même, je pense que c’est ce qu’il nous faut. »
Il n’y a pas besoin de s’inquiéter pour Laifis
La prestation de Laifis à Eupen illustre bien la période de doute que traverse le Standard. Le Chypriote a livré sa plus mauvaise prestation, alors qu’il fut pratiquement toujours gage de sécurité. Le défenseur était fort frustré. « Je ne m’inquiète pas pour lui. Il est fort mentalement », pense son ami.
« Il analyse toujours ses matches, je le vois sur son ordinateur quand nous dormons au club. Il est au courant qu’il a fait un mauvais match, tout comme il sait qu’il joue une très bonne saison. Ce n’était pas utile de lui parler longuement hier. »
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