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Basé à Londres, Ronny Rosenthal a profité de quelques jours de beau temps et du fait que son fils jouait en Allemagne pour venir prendre le soleil dans son appartement de Knokke. Détendu, il nous a parlé de ses compatriotes évoluant pour ses anciennes couleurs.
« De vue et de réputation. Je l’ai peut-être croisé une seule fois. »
Comment jugez-vous son travail au Standard ?
« Il bosse beaucoup et bien. Les résultats sont là et le Standard est toujours en tête du championnat. On s’attendait tout de même à ce que le Standard soit dans le top 4 au minimum. S’il n’est pas champion ou dauphin, il aura juste fait son boulot. S’il empoche le titre, il aura été bon. »
Comment est-il perçu au pays ?
« Il n’est pas une star mais est considéré comme un entraîneur qui monte. Il devra confirmer la saison prochaine. Il possède le potentiel mais il devra l’exploiter. Il est encore trop tôt pour le juger. »
Son comportement en bord de terrain est parfois excessif…
« Il est impulsif, agité. C’est on style propre. »
Est-ce typiquement israélien ?
« Non, je ne pense pas. (Sa femme, Nancy, intervient : « Si, c’est israélien »). Disons qu’il a le sang chaud et que la Belgique n’y est pas habituée. »
Que vous inspire cette mode israélienne en Belgique et comment l’expliquez-vous ?
« Le championnat local est de plus en plus médiatisé. Avant, les clubs belges allaient chercher les joueurs en Afrique dès leur plus jeune âge. Désormais c’est plus compliqué et ils se sont rabattus sur des compétitions comme la Slovénie, la Serbie ou Israël. Ce sont de bons championnats où des statistiques sont disponibles et où il est possible de suivre les joueurs de manière professionnelle. »
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