Durant son année au Standard, le Portugais a eu une relation tendue avec les journalistes, mais il nous a quitté avec le sourire.
« Mes chers amis de la presse, je ne peux pas vous oublier », déclarait-il dans son dernier discours comme entraîneur du Standard. « Vous m’aimez, je vous aime, chaque jour. Il y a eu des tensions à certains moments. Mais je pense que je n’ai jamais manqué de respect à personne, même si je ne souriais pas. »
« Notre relation a changé, non pas avec les résultats, mais à partir du moment où j’ai demandé plus de respect. A partir de ce moment, vos articles sont devenus justes. Nous sommes en paix maintenant. Je vous souhaite aussi le meilleur pour la suite », concluait-il. Merci, monsieur Sa Pinto. Et c’est réciproque.
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