Sacré compliment de la part de Mpoku, qui a une grande estime pour le coach roumain.

Depuis le week-end dernier, le Standard compte 10 points d’avance sur Anderlecht et le Club Bruges. “Cela ne signifie rien car il y a les playoffs”, commente Paul-José Mpoku. “On a vu par le passé que tout pouvait aller très vite. Il reste 16 rencontres, on doit continuer à prendre match par match en essayant de prendre le plus de points possibles. On verra au décompte final.”

Pour le Diablotin, le plus grand rival des Rouches, ce n’est ni Anderlecht, ni Bruges. “C’est… le Standard. On a tout pour aller au bout. Si on continue sur notre lancée, en restant organisé et concentré à 100%, personne ne pourra nous arrêter. Le danger qui nous guette, c’est de croire que c’est dans la poche. Mais je n’ai pas encore senti un début d’arrogance dans le groupe.”

Un groupe qui , d’après Paul-José Mpoku, porte la griffe de Guy Luzon. “On a des joueurs avec des qualités individuelles. Mais si on gagne aujourd’hui, c’est grâce à notre organisation. Et cela, c’est le mérite du coach, de A à Z. J’ai eu quatre coaches au Standard (NdlR: José Riga, Ron Jans, Mircea Rednic et Guy Luzon) et niveau organisation, Guy Luzon est le plus pointu. Personne n’arrive à la moitié de ce qu’il a mis en place. Il est encore plus fort que Rednic (NdlR: un sacré compliment de la part du Diablotin, qui a une grande estime pour le Roumain) . Guy Luzon nous a aussi donné sa folie. Il nous rend fous sur le terrain.”

Une folie qui se ressent dans le jeu offensif. Mais depuis décembre seulement car l’entraîneur israélien a d’abord travaillé l’aspect défensif. “Depuis le match contre Genk, on est plus libre offensivement. Avant ce match, on avait discuté de cela entre joueurs offensifs et, comme par hasard, le coach nous a fait la même proposition la même semaine. L’initiative est venue en même temps des deux côtés…”

Source : dhnet.be

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