Paul-José Mpoku est un joueur qui donne tout sur le terrain, et en dehors c’est aussi un homme engagé, qui assume ses opinions. Et la situation en Libye ne le laisse pas indifférent.
Paul-José Mpoku n’est pas homme à se taire. Ce dimanche, après la rencontre remportée par les Rouches sur la pelouse de Genk, il a tenu a expliquer sa célébration. Une célébration que l’on voit sur les terrains depuis quelques semaines. « Oui, c’est pour dénoncer ce qu’il se passe en Libye ».
Ces dernières semaines, des faits d’esclavage ont été avérés, ce qui a fait réagir beaucoup de personnes: « Je suis fier d’être noir, tout le monde devrait être fier de l’être. Quand on voit qu’en 2017 il y a encore de l’esclavage, cela ne doit pas arriver. Nous ne sommes pas à vendre ».
« Polo » a aussi tenu à s’exprimer sur les récents débordements qui ont eu lieu: « J’ai vu qu’à Bruxelles, c’était chaud. Il faut revendiquer, mais il ne faut pas qu’il y ait de bagarres. Frapper un journaliste, c’est la honte. Il faut une bonne balance car ce n’est pas en frappant que l’on plaide sa cause. »
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