Ricardo Sa Pinto a débarqué au Standard l’été dernier. Et s’il s’est retrouvé en bord de Meuse, c’est grâce à un homme en particulier.
« C’est moi, effectivement, qui ai pensé à lui avant d’appeler Olivier Renard » raconte Ali Lukunku dans Sudpresse. « Je savais, comme tout le monde, que le Standard cherchait un entraîneur qui connaissait le championnat de Belgique, mais aussi la mentalité propre à ce club, selon le profil établi par la direction. »
Puis il a établi le contact. « J’ai donc mis les deux parties en relation. Le Standard ne savait pas que Ricardo était libre et ce dernier, qui s’est montré d’entrée très intéressé par le challenge, ne savait pas que le Standard se cherchait un coach…
Sa Pinto a répondu à l’attente – Ali Lukunku
Malgré les nombreuses critiques durant la saison, Ali Lukunku a toujours été persuadé qu’il était l’homme de la situation. « Le club liégeois voulait un entraîneur capable de ramener, dans la maison, de l’ordre, du caractère et de la mentalité. Sur ce plan-là, il n’y a rien à redire, Sa Pinto a répondu à l’attente. »
« Je n’avais aucun doute là-dessus : il savait ce qu’était la mentalité Standard et il avait déjà un vécu important comme entraîneur, avec notamment une demi-finale d’Europa League disputée en 2011-2012 avec le Sporting Lisbonne, après avoir éliminé Manchester City » a-t-il conclu.
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