Le président de Metz vole au secours de Riga: « Sans preuve, Venanzi devra ravaler sa salive »

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Président de Metz, Bernard Serin a volé au secours de José Riga.

L’affaire Standard a déjà dépassé les frontières de la Belgique. Le nom de José Riga ayant été cité, la polémique s’est déplacé outre-Quiévrain pour venir trouver écho à Metz où le Liégeois officie actuellement.

Le président du club de Ligue 2, Bernard Serin, a tenu à réagir à la polémique née à Liège. Il a surtout voulu marquer son soutien envers son entraîneur.« Vous donnez davantage d’éléments ? Je n’en ai pas plus que ceux sortis dans la presse », précise-t-il.

« J’ai eu échos de déclarations floues d’un président qui ne les étayent pas d’éléments probants. J’ai également pris connaissance des dénégations des trois entraîneurs ciblés dont le nôtre, José Riga. J’ai discuté avec lui et vous comprendrez qu’il est touché par ce qu’il se dit sur lui. Il explore actuellement les recours mis à sa disposition. Il m’a également assuré être totalement étranger à cette affaire ! »

Pour Bernard Serin , Bruno Venanzi sera bientôt amené à s’expliquer. « L’affaire a pris une telle ampleur que la personne qui en est à l’origine (NdlR : Bruno Venanzi) va devoir présenter des éléments probants. Si cette personne n’en est pas capable, elle devra donc ravaler sa salive… »

Du côté de la presse locale, on se dit également abasourdi par les suspicions autour de José Riga. « On ne le connaît que depuis peu, mais il dégage l’image de quelqu’un de fiable et de serein », nous précise un confrère du Lorrain Républicain.

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