Le président Venanzi a préféré attirer l’ancien coach à succès liégeois pour faire progresser son club.
Le Standard change encore d’entraîneur, mais cette fois, il est parti pour s’inscire dans la durée. « On a remplacé un coach instable par un coach qui n’a jamais été licencié dans tous les clubs par lesquels il est passé. Prenons le cas de Weiler, les dirigeants d’Anderlecht hésitaient à le garder et l’ont finalement licencié trois mois après », s’exprime Bruno Venanzi dans Sport-Foot Magazine.
« C’est pour éviter ce genre de décision a posteriori qu’on a décidé de se séparer de Ricardo. La stabilité est davantage dans le noyau des joueurs et dans le comité exécutif qu’on a mis en place. »
Dans les courses, on était en queue de peloton
MPH ne sera pas un entraîneur comme un autre à Sclessin. « Si je l’ai nommé vice-présient, c’est parce qu’il a envie de professionnaliser ce club. Et il y a encore du travail. À tous les niveaux. Je veux la meilleure pelouse, je veux le meilleur stade – on est d’ailleurs dans la ligne du temps qu’on s’est fixée, j’espère que les travaux débuteront fin 2019 -, la meilleure académie. »
« D’un point de vue physique cette saison, on était trop courts. Si vous regardez les stats des courses, on était en queue de peloton. Les tests de VMA, de masses grasses, n’étaient pas parfaits. C’est une chose sur laquelle on travaille déjà avec Michel et Renaat Philippaerts, le nouveau préparateur physique. »
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