« Quand on est le Standard, on se doit d’avoir la motivation, même si la situation est compliquée. On est mené 0-2, mais on peut gagner ce match. On joue par à-coups. Pendant 30 ou 40 minutes, on n’est pas dedans, mais on est capable d’avoir une réaction lorsqu’on est dos au mur. C’est la mentalité de la fin de match qu’on doit afficher. Les trois entraînements par jour ? Ma mère se lève à 5h30 pour aller travailler. Nous, on a la chance de faire de notre passion notre métier. Il faut accepter d’arriver à 7 heures à l’Académie. Le coach ? On est à un million de pourcents derrière lui ».
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