Aujourd’hui en réussite du côté de Hoffenheim, l’avant franco-algérien est revenu sur son passage chez les Rouches.
Après une première saison en prêt au Werder Brême, où il a connu des hauts et des bas, le produit lyonnais évolue pour l’équipe de Julian Nagelsmann en Bundesliga, mais aussi en Ligue des Champions.
Belfodil se sent bien et sait qu’il a progressé. « C’est sur le plan mental que je suis plus fort. Lorsque je suis arrivé au Werder Brême, l’équipe ne tournait pas bien, et moi, j’accusais un retard de préparation après mon départ chahuté du Standard. Mais grâce au soutien de mes proches et de mon agent, qui me disait de rester calme, j’ai su me montrer patient là où, quelques années plus tôt, j’aurais craqué », a-t-il expliqué à La Dernière Heure.
Cette forme actuelle, il sait qu’il la doit notamment aux Liégeois. « J’ai été éduqué dans la reconnaissance. Je sais donc ce que le Standard et ses dirigeants ont fait pour moi. On ne peut jamais prédire l’avenir mais, sans le tremplin représenté par le Standard, je ne serais peut-être pas revenu aussi rapidement dans le grand bain, dans le football qui compte, comme on dit. »
« Si j’évolue aujourd’hui dans un des plus grands championnats au monde, c’est en grande partie grâce au Standard qui est un club très suivi en Europe. Si seulement après quatre mois passés à Sclessin, un club comme Everton s’est manifesté, cela veut bien dire que le Standard a sa place en Europe. Si je joue la Ligue des champions avec Hoffenheim cette saison, c’est en partie grâce au Standard. »
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