À l’instar du reste de l’équipe, Guillaume Hubert doit prendre de nouveaux repères de gardien avec la nouvelle option tactique d‘Aleksandar Jankovic.
«Je savais que nous allions avoir une charge de travail plus lourde qu’à l’occasion d’une semaine normale et ce n’était pas plus mal de choisir une destination chaude. C’était important de prendre des repères. On n’avait jamais spécialement joué dans ce système. Personnellement, je n’avais jamais joué avec trois défenseurs centraux. Je dois prendre de nouvelles habitudes. Ce qui change pour un gardien ? La communication. Apprendre à commander trois joueurs et non plus deux. Il est important de savoir qui fait quoi au sein de la défense, qui se charge de la relance…
» À l’inverse de la saison passée, le Carolo abordait ce stage avec la certitude d’être considéré comme le numéro 1 dans les prochains mois. «Je n’aime pas trop parler de certitudes quand on sait ce qui s’est déjà passé. Il n’y a jamais rien de sûr. Je ne me projette pas dans le futur, j’ai juste pensé à travailler. C’est clair que j’ai été plus serein. Je ne pense pas en termes de hiérarchie. Il n’y a pas de numéro 1, 2 ou 3. Je suis jeune, il faut se battre tout le temps.
» Quand on est gardien du Standard, la pression n’est pas anodine. «Cela ne sert à rien de se poser 1.000 questions. Entendre parler via les médias que tu es suivi par Arsenal fait plaisir mais je pense d’abord au Standard. Je voulais m’y installer et mon envie n’a pas changé. »
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