Cliquez sur ce lien pour rejoindre notre page Facebook et recevoir nos meilleures infos sport sur le Standard de Liège
Aleksandar Jankovic n’a pas l’intention de le cacher plus longtemps, à terme, il est acquis que le Standard évoluera régulièrement avec une défense composée de trois défenseurs centraux, comme il le faisait déjà à Malines.
Un dispositif parfaitement logique quand on jette un oeil sur l’effectif liégeois. Avec Scholz, Laifis, Kosanovic, Soares, Arslanagic, Fiore et Samy Mmaee, il y a embouteillage dans le secteur. «Nous allons effectivement travailler là-dessus dans le futur », confirme l’entraîneur des Rouches. «Le Celta Vigo pratiquait ce système et nous avons constaté que cela posait pas mal de problèmes à l’adversaire, notamment au niveau de la relance. Le projet est d’ouvrir les options, de pouvoir passer d’une défense à 3 à une défense à 4 quand les adversaires ou les circonstances nous l’imposent. » Et donc également en cours de rencontre. «Lorsque les joueurs seront habitués à cette animation, que les automatismes seront présents, ce pourrait être formidable, d’autant que nous disposons des joueurs pour appliquer ces principes et ce, même sur les flancs. » Car inévitablement, les deux latéraux devront arpenter tout le couloir.
Alexander Scholz est en tout cas ouvert à l’idée, lui qui n’a pourtant jamais évolué dans un tel système, au contraire de Milos Kosanovic qui l’appliquait sous les ordres d’Aleksandar Jankovic, du côté de Malines. «Je pense effectivement que nous pouvons évoluer à trois derrière, Laifis, Kosanovic et moi-même, par exemple », explique le talentueux Danois.
« DÉJÀ UN PEU LE CAS »
«Même si cela dépend du style de football demandé par le coach. Je sais que ce dernier employait cette tactique à Malines notamment. Il ne nous en a cependant pas encore parlé. Mais avec les qualités des joueurs que nous possédons, je pense que nous sommes capables de le faire. Donc, pourquoi pas ? Vous savez, lorsque nous sommes en possession du ballon, Eyong Enoh redescend très bas pour relancer, c’est un peu, déjà, comme si nous jouions à trois derrière. Cela ne devrait donc pas changer grand-chose. Quand vous jouez avec un numéro 6 comme notre Camerounais, il contrôle tout le jeu. Il nous couvre, aussi. Ce qui nous permet d’effectuer des montées dans l’entrejeu. S’il ne le faisait pas, nous ne pourrions pas jouer de la sorte, de peur de nous faire prendre en contre. Tout le crédit en revient à Eyong Enoh. » Une défense à trois centraux permettrait donc aussi au milieu défensif de jouer un peu plus haut… Mais surtout autoriserait une belle souplesse tactique qui désarçonnerait plus d’un opposant.
Commentaires
Commentaires
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté(e) pour rédiger un commentaire.