Elle est où, la progression ?

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Jeu offensif, phases arrêtées… Le Standard ne semble pas s’améliorer au fil des matches.

Pendant la mini-trêve internationale, le Standard a travaillé le jeu offensif et les phases arrêtées. Mais les résultats se font attendre…

Les Rouches encaissent toujours autant sur phases arrêtées. Sur les cinq buts concédés lors des deux derniers matches à Ostende et Rijeka, il y a trois penalties et un corner. Sur les coups de réparation, difficile de progresser : c’est en amont qu’il faut travailler pour éviter la faute dans le rectangle. Soit en se maîtrisant pour ne pas commettre l’irréparable inutilement – Arslanagic en a pris conscience… – soit en coupant les trajectoires pour éviter les ballons en profondeur qui mettent la défense en difficultés. Sur les corners, le Standard doit se remettre en question. La gestion du ballon au premier poteau pose problème… depuis le deuxième match de championnat à Courtrai ! Cela a encore coûté un but à Rijeka. Indispensable dans le jeu offensif, Mpoku, impliqué sur les phases en question, n’est sans doute pas l’homme de la situation pour occuper cette zone.

Quid du jeu offensif ? Après être revenu aux bases – mise en place défensive et organisation – avec un certain succès (0 but encaissé lors des quatre premiers matches de championnat de Vukomanovic), le staff a voulu passer la vitesse supérieure avec une meilleure animation offensive. Mais cela ne se voit pas encore dans les prestations des Rouches… Jeudi à Rijeka, les demi-occasions se sont comptées sur les doigts d’une seule main. En cause : un manque de mobilité, de qualité technique dans les transmissions et de détermination.

Que ce soit la concentration ou la détermination, il s’agit d’un souci de mentalité. À l’image de Dino Arslanagic, qui l’a admis lucidement après l’élimination en Croatie, les Standardmen doivent se remettre en question…

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