Ce sont les deux phases qui portent le plus à duiscussion à l’issue du partage entre le Standard et Gand à Sclessin, samedi dernier: le but refusé à Gigot et la seconde carte jaune non distribuée à Dylan Bronn.
Et Monsieur Laforge en reste convaincu, il a pris la bonne décision sur chacune de ses deux phases litigieuses. « J’avais auparavant revu beaucoup de corners de Gand et du Standard », précise-t-il au Laatste Nieuws. « Il y a deux choses sur le corner qui amène le but annulé. D’abord une poussée de Gigot sur son adversaire direct, mais aussi un bloc de Sylla sur Poconoli qui ne peut, dès lors, plus jouer le ballon. Ce sont deux fautes », assure-t-il.
Ce sont deux fautes, je suis sûr de mon fait – Nicolas Laforge
« Ce sont des fautes intelligentes, et ça va très vite. Mais je suis sûr de mon fait », répète Monsieur Laforge, qui le précise aussi, l’arbitrage vidéo ne pouvait pas intervenir. « Mais mon coup de sifflet arrive avant que la balle ne rentre dans le but, donc, de toute façon, on ne pouvait pas avoir recours au VAR. »
Pas de deuxième jaune pour Bronn
L’autre phase dont on discute encore, c’est la faute de Dylan Bronn qui aurait pu ou dû, selon les avis, lui valoir un second carton jaune. « Il y a faute et je l’ai sifflée, mais pour moi, ça ne méritait pas de carton jaune », conclut l’homme en noir.
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