Conceiçao, Rednic, Bölöni, Hellers: qui sera le futur entraîneur du Standard?

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C’est évidemment le premier nom qui a été cité pour la succession de Slavo Muslin. Mais Éric Gerets ne viendra pas.

«Je l’ai eu au téléphone il y a dix minutes, expliquait Bob Claes, le directeur général, hier peu après 15h. Il m’a redit son amour pour le club, et il viendra encore voir le Standard (NDLR: il devrait être présent à Bruges). Mais pour des raisons personnelles, il lui est impossible de devenir à nouveau entraîneur. » L’ancien Diable rouge ne devrait pas plus intégrer le club dans une autre fonction.

La piste Gerets écartée, d’autres vont être rapidement explorées. Le profil du futur entraîneur du Standard, selon Axel Lawarée, doit comprendre à la fois «l’expérience, la maîtrise du français, une certaine connaissance du championnat belge, connaître les qualités des joueurs mis à disposition (NDLR: une pique à Muslin, au passage)». Officiellement, aucun contact n’a encore été pris, à l’exception de Gerets donc, mais les candidats spontanés ne vont pas tarder à se déclarer, ou l’ont déjà fait.

«Être un ancien joueur du Standard peut être un avantage», a glissé Lawarée. Le nom de Guy Hellers est déjà revenu. Sergio Conceiçao, libre de tout contrat, présenterait-il aussi un profil intéressant? Et un ancien entraîneur? Mircea Rednic, en poste à Petrolul, a une clause libératoire dans son contrat, mais il n’est pas certain que la direction liégeoise en fasse une priorité, pas plus que Laszlo Bölöni, en poste à Al-Ittihad et qui pourrait être tenté par un retour en Europe.

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