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Depuis un certain temps, Yoni Buyens doit ronger son frein sur le banc suite à l’éclosion de Julien de Sart. L’Anversois veut profiter du match à Waasland/Beveren pour plaider sa cause en vue des playoffs 1, une formule qu’il connaît bien.
Revenu dans le onze de base la semaine passée contre Malines, Yoni Buyens devrait enchaîner avec une seconde titularisation dimanche à Waasland/Beveren. « Samedi passé, j’étais d’un côté content d’être dans l’équipe. De l’autre, je ne pouvais pas être satisfait du match que j’ai livré. J’estimais que je méritais de rejouer parce que j’avais fait une bonne rentrée à Bruges la semaine précédente. Comment expliquer mon mauvais match contre Malines ? Peut-être ai-je trop forcé sur certaines actions – j’ai été présent dans les seize mètres offrant notamment un assist pour De Camargo –, laissant trop d’énergie dans l’aventure… »
Au Standard depuis l’été 2011, l’Anversois n’a jamais cessé de répéter qu’il avait besoin d’enchaîner les rencontres pour atteindre son meilleur niveau. « Contre Malines, il s’agissait de ma deuxième présence au coup d’envoi en 2014. La première, c’était à la reprise contre Ostende. C’est différent du début de saison où tu restes sur plusieurs semaines sans compétition. J’espère être sur le terrain dimanche et travailler dur pendant deux semaines pour poser des difficultés au coach au moment d’effectuer ses choix. En playoffs 1, je sais qu’il faut répondre présent à chaque rendez-vous. »
Il ne le cache pas vraiment : son statut de réserviste le ronge un peu. « Les autres années, la concurrence était importante au sein du noyau mais les joueurs transférés ne sont plus là… C’est la première fois que je connais ce genre de situation. J’ai encore deux ans de contrat, je me sens bien ici et quoi qu’il arrive je ne pense pas à partir. »
Face à la jeunesse de Julien de Sart, son expérience peut être un atout dans les playoffs. « William et moi sommes la paire la plus complémentaire, même si c’est plutôt une question pour le coach. Nous avons beaucoup joué ensemble, nous avons disputé deux campagnes de playoffs 1 côte à côte, cela peut être notre force. Dans les gros matches comme Anderlecht ou Bruges, on a pu voir ce que je pouvais apporter à l’équipe. Comme le pressing haut ou la présence dans les seize mètres. »
Le sourire, il le retrouve quand il revient à la maison. « Voir le sourire de ma petite fille, cela m’aide à relativiser. Quand tu t’entraînes et que tu ne joues pas, ton humeur s’en ressent. Je franchis la porte et j’oublie tout. »
Source : sudpresse.be
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