« Il ne se sentait pas bien mais j’aurais aimé le savoir un peu plus tôt », explique Jeunechamps. « Cela nous donnait des options offensives en moins car il peut jouer en 7, en 11, en 9 ou 9,5. C’est un joueur important par sa polyvalence et son engagement. Mais j’avais décidé de remettre le même onze de base et cela me semblait cohérent… »
Si le coach intérimaire du Standard a pris la peine de préciser tout cela, c’est parce que les murs du vestiaire occupé par les joueurs liégeois au Stayen ont tremblé à la mi-temps du match. Si Jeunechamps n’a pas ménagé le feu follet gantois, difficilement gérable, celui-ci s’est rebellé, allant jusqu’à flanquer son maillot par terre. Le ton est alors monté. Plus tôt dans la saison, Raman avait de la même façon réussi à exaspérer plusieurs de ses équipiers en invoquant une blessure, grossière excuse à leurs yeux, pour pouvoir quitter le terrain lorsqu’il voyait que les événements ne tournaient pas dans le sens espéré.
Commentaires
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Il traite les autres de « boer » mais lui c’est un caractériel. Et jeter le maillot sacré par terre est une faute grave
Ok ok, que Raman est un caractériel, ça, on le savait avant qu’il n’arrive ! N’empêche, début de saison, quand tout allait bien, les supporters n’avaient d’yeux que pour lui, à raison, car lui, au moins, il n’avait pas peur de le mouiller, justement, SON MAILLOT, au contraire de bien d’autres.actuellement ! Qu’il le jette à terre de rage ne me fait ni chaud ni froid, perso, du moment qu’il donne tout sur le terrain ….
Merci pour la réponse.
Mouiller le maillot juste pour le mouiller, autant faire de l’athlétisme. Raman précisément est un feu-follet pas très intelligent qui court en regardant le ballon et non les équipiers et est finalement d’un rendement relatif pour ne pas dire mediocre sans compter la mauvaise ambiance dans le vestiaire.
Si Gent l’a laissé partir, c’est qu’ils n’étaient pas satisfait du rendement indépendamment de son dérapage au micro à Brugge.