Adrien Trebel : « Remporter le titre avec le Standard »

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Samedi soir, Adrien Trebel a disputé l’intégralité de la rencontre face au Westerlo (2-2). Ambitieux et confiant, le milieu de terrain français, qui souffrait du genou depuis le début de la saison, a enfin disputé sa première rencontre sous la vareuse du Standard.

En dépit de nombreuses occasions en seconde période, les Liégeois ont loupé le coche face aux Campinois. Pas rassurant avant le déplacement européen de mardi soir (18h) au Zenit Saint-Pétersbourg, dans le cadre du barrage retour de la Ligue des Champions.

« Nous ne devons pas dramatiser cette contre-performance car nous avons livré une solide prestation », déclarait le joueur de 23 ans. « La balle ne voulait tout simplement pas rouler en notre faveur. À l’entraînement, tous ces ballons rentrent dans le but. Nos attaquants évoluent avec confiance, mais samedi soir, cela n’a pas fonctionné. À l’avenir, je ne m’attends pas forcément à des problèmes offensifs. »

Débarqué cet été en provenance du FC Nantes (Ligue 1), Adrien Trebel clame haut et fort ses ambitions. « Le Standard est un grand club : je veux remporter le titre avec cette équipe », tonnait le médian axial qui, samedi soir face à Westerlo (2-2), a enfin pu étrenner sa première titularisation avec les Rouches. Depuis le début de la saison, le Français souffrait du genou.

« Suite à cette blessure, je n’ai pas encore complètement retrouvé mon niveau, mais je progresse étape après étape. Je suis satisfait de ma rencontre. L’entraîneur m’avait surtout demandé de contrecarrer le milieu de terrain adverse, ce que j’ai réussi à faire. »

Dans le clan principautaire, le malchanceux du week-end se nommait bien entendu Paul-José Mpoku, lequel a manqué la conversion de deux penalties en seconde période.

« Nous ne blâmons pas Mpoku pour cela, cela fait partie du football », ajoutait Trebel. « Il avait une grande faim de victoires et a pris ses responsabilités. Ensuite, nous comprenons tout à fait qu’il ait voulu tirer le second coup de réparation, histoire de remettre les pendules à l’heure. En vain, malheureusement. Paul-José reste néanmoins un grand joueur et j’ai beaucoup de respect pour lui. »

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